N.f. Le sin­guli­er tend à en désign­er une en par­ti­c­uli­er. Organ­isme uni­cel­lu­laire, le plus sou­vent présent en grand nom­bre, se nour­ris­sant et se repro­duisant. Les bac­téries sont présentes partout, que le milieu soit vivant, ou inerte. Les bac­téries devi­en­nent pathogènes lorsque leur nom­bre et leur action sur l’hôte excède sa résis­tance. Une bac­térie est dite com­men­sale, c’est-à-dire dans une rela­tion vitale réciproque entre l’hôte et elle, ce qui est le cas de la flo­re intesti­nale où les bac­téries présentes dans le tube diges­tif assurent des fonc­tions per­me­t­tant à l’hôte de vivre quand en retour il four­nit un milieu prop­ice, en ter­mes de lumière, de tem­péra­ture, et des ali­ments. Elle est dite par­a­sitaire lorsque son activ­ité et son développe­ment nuisent à la san­té voire à la vie de l’hôte alors qu’elle-même est en mesure de vivre hors de celui-ci.