Abstinence
N.f. Pratique consistant à se priver d’aliments, de produits, de pratiques pour des raisons médicales, philosophiques ou religieuses.
N.f. Pratique consistant à se priver d’aliments, de produits, de pratiques pour des raisons médicales, philosophiques ou religieuses.
N.m. Mot inventé par François Rabelais*. Personne capable à extraire l’essentiel d’une histoire, de notions. Il qualifie son narrateur et alter ego anagrammatique, Alcofribas Nasier, d’“abstracteur de quinte essence”.
N.f. 1. Concept, hypothèse ou notion n’ayant pas de présence perceptible ou tangible lors de son énonciation et n’ayant pas encore fait l’objet d’une vérification par l’expérimentation. Étape d’un processus de pensée ne devant pas nécessairement être effectuée dans le monde phénoménal. 2. Champ artistique développé initialement en peinture, n’impliquant pas de référent extérieur identifiable. L’abstraction en peinture apparaît comme décision en 1909 avec František Kupka* et en 1912 avec Wassily Kandinsky*. Ant. concret.
Adj. Se dit d’une idée, d’une situation dont la réalité ou la réalisation ne sont pas envisagées ou envisageables hors d’une approche théorique. Les idées abstraites sont par conséquent souvent considérées comme non valides.
N. et adj. 1. N. Pensée, parole, idée ou action dont la logique ne correspond pas à l’acception générale, dont il est présupposé qu’elle est vouée à l’échec ou incompatible avec la raison, la logique, les normes, la morale. 2. adj. Qualifie une telle pensée ou production. 3. Le goût de l’absurde; attitude de pensée 4. Théâtre de l’absurde; appellation d’une tendance dans le théâtre théorisée après la Deuxième Guerre mondiale mais présente dès l’entre-deux-guerres. Ant. rationnel, logique.