Échauguette
N.f. Avancée d’une fortification, munie d’une meurtrière et d’une ouverture à sa base pour lâcher des objets lourds sur des adversaires.
N.f. Avancée d’une fortification, munie d’une meurtrière et d’une ouverture à sa base pour lâcher des objets lourds sur des adversaires.
Adj. Souvent précédé par le cas. Désigne une action à effectuer lorsque se produit un événement donné, possible mais non certain.
N.m. 1. Action n’étant pas couronnée de succès, n’ayant pas produit les résultats espérés. 2. Plur. Jeu de stratégie d’origine persane. Il se joue sur un plateau en damier à soixante-quatre cases. S’y opposent deux armées composées de seize pièces: une reine, un roi, deux fous, deux chevaux, deux tours et huit pions. Ces pièces ont chacune une façon de bouger précise. Le but du jeu consiste à mettre le roi adverse en situation d’être pris. Une fois celui-ci dans l’impossibilité de se déplacer sans qu’au prochain coup, il soit pris il est dit mat. 3. Échec au roi. Annonce obligatoire lorsqu’au jeu d’échecs une figure met le roi adverse en situation d’être pris au coup suivant s’il ne se déplace pas.
N.f. 1. Instrument mobile permettant de monter ou de descendre. Une échelle se compose de deux montants reliés entre eux par des marches. Elles sont le plus souvent en bois ou en aluminium. Il y en a de droites devant être appuyées pour être employées, de doubles dont les bases s’écartent afin de les stabiliser. 2. Fig. Rapport de proportions entre le corps et un objet, un espace, un volume. 3. Échelle de valeurs. Gradation régulière permettant d’évaluer une quantité. 4. Fig. Échelle de Jacob. Dans la Bible, Jacob a la vision d’une échelle reliant la Terre au Ciel.
Unité de mesure de l’intensité d’un séisme en fonction des dégâts produits. Elle est dite ouverte car il n’y a pas de limite supérieure définitive connue. Elle va à ce jour de un à huit degrés, par pas d’un dixième de degré.
N.m. 1. Écarts de progression établis pour un type de mesure, permettant de situer des éléments les uns par rapport aux autres. 2. Division du montant d’une dette en un nombre de tranches réparties dans le temps afin de permettre au débiteur de rembourser une somme.