Glaive

N.m. Lat. Gla­d­ius. Épée courte à dou­ble tran­chant, faisant par­tie de l’équipement des sol­dats romains.

Gland

N.m. 1. Fruit du chêne. De forme ovoïde. Sa coquille est lisse et rigide et est pourvue à son som­met d’une excrois­sance pointue d’environ 1millimètre de long. Sa base, qui est insérée dans une cupule rugueuse par laque­lle il est rat­taché à la tige, est mate. L’intérieur, de couleur jade à jaune, a la con­sis­tance d’une amande. Une fois à terre, une racine fend la coquille et se plante. 2. Élé­ment de déco­ra­tion en tis­su en forme de gland, employé comme extrémité de lanières ou pour des embrass­es de rideaux. Son épais­seur per­met une prise en main aisée et son poids favorise le tombé. 3. Extrémité du pénis. Le mot désigne égale­ment la par­tie externe du clitoris. 

Gland

Ville du can­ton de Vaud en Suisse. Située sur la rive nord du lac Léman.

Glande

N.f. Organe pro­duc­teur d’hormones ou de cel­lules, des­tinées à réguler les fonc­tions cor­porelles, dif­fuser de sub­stances défen­sives ou à fil­tr­er les fluides.

Glander

V. Arg. Traîn­er, être inac­t­if. La con­no­ta­tion n’en est pas néces­saire­ment négative.

Glandeur

N. Fém. ‑euse. Per­son­ne peu active et velléitaire.

Glandu

N. Fém. ‑e. Arg. Per­son­ne peu éduquée, stu­pide et incapable.

Glane

N.f. 1. Action de glan­er. 2. Pra­tique autorisée depuis le Moyen-Âge selon des critères pré­cis. Ramas­sage ou cueil­lette des fruits, légumes ou céréales lais­sés sur place après le pas­sage du pro­prié­taire de la par­celle, du champ, à l’époque le seigneur. 3. Récupéra­tion impli­quant appro­pri­a­tion d’objets aban­don­nés, dont la per­son­ne pro­prié­taire n’est pas identifiable.