À fortiori
Adv. ou a fortiori. Locution latine servant à appuyer la force d’un argument et signifiant: à plus forte raison, qui plus est.
Adv. ou a fortiori. Locution latine servant à appuyer la force d’un argument et signifiant: à plus forte raison, qui plus est.
N.m. et adj. Idée ou avis préconçu sur un sujet, souvent informé par des valeurs, une éducation, une idéologie. Synonyme de préjugé.
N.m. Forme grammaticale. Mode de déclinaison présent dans certaines langues, notamment le latin.
N.f. Action consistant à raccourcir un mot sans en perdre la signification. Certaines abréviations sont codifiées et largement répandues.
N.f. 1. Concept, hypothèse ou notion n’ayant pas de présence perceptible ou tangible lors de son énonciation et n’ayant pas encore fait l’objet d’une vérification par l’expérimentation. Étape d’un processus de pensée ne devant pas nécessairement être effectuée dans le monde phénoménal. 2. Champ artistique développé initialement en peinture, n’impliquant pas de référent extérieur identifiable. L’abstraction en peinture apparaît comme décision en 1909 avec František Kupka* et en 1912 avec Wassily Kandinsky*. Ant. concret.
N.m. Temps en usage dans certaines langues comme le latin ou l’allemand pour désigner l’objet direct dans une phrase.
N.m. Sigle formé de l’initiale des mots composant le nom d’une entreprise, d’une institution ou d’un concept. Un acronyme a généralement la fonction de raccourcir une appellation en toutes lettres à des fins de clarté typographique et de mémorisation. Certains acronymes forment à leur tour un mot évoquant le champ d’activité dans lequel est active l’instance ou l’idée dont il est une forme abrégée.
N.m. Mot servant à renforcer, préciser ou qualifier le sens d’un substantif ou d’un adverbe. L’adjectif n’est pas nécessaire pour qu’une phrase soit grammaticalement correcte, bien que sa présence puisse désambiguïser une phrase trop générale.
N.m. Mot placé immédiatement avant ou après un verbe servant à qualifier la façon de laquelle l’action ou l’état signifié par le verbe influe sur le sujet ou le complément. À la différence du verbe, du sujet ou du complément, l’adverbe n’est pas un composant obligatoire de la phrase et ne s’emploie pas seul.